"Je repère qu'il y a deux endroits stratégiques dans le 67 :

• Juste derrière la cabine et dans le sens de la marche, à la gauche du conducteur, quand j'ai la chance de ne pas avoir face à moi une personne trop corpulente, je peux m'imaginer à la place du conducteur. Je peux aussi observer comment celui-ci procède, comment notamment il s'arque boute sur le gigantesque volant quand il s'agit de négocier un virage un tant soit peu serré à faible allure,

• Sur la plate-forme à condition qu'elle ne soit pas bondée et que je puisse passer la tête au-dessus de la rambarde, je peux ressentir l'ivresse de la vitesse. Le souffle du vent, le ballottement amplifié par le porte-à-faux arrière et le son de l'échappement donnent ici l'impression d'être embarqué dans un bolide endiablé digne de la foire du Trône."